Les événements survenus depuis la mort de Nahel ont montré que les quartiers populaires ne sont dignes de l’intérêt journalistique que lorsqu’ils s’embrasent. En focalisant l’attention sur les images de voitures incendiées et de vitrines brisées, les médias ont éludé les causes socio-économiques de ces violences, analyse Nordine , ancien directeur du Bondy Blog.