Le journaliste, décapité par l’organisation Etat Islamique en 2014, après une captivité de deux ans, a payé de sa vie la politique « cruelle et mal avisée » de l’époque, selon laquelle les Américains ne discutaient pas avec les terroristes, affirme sa mère, qui rappelle, dans une tribune au « Monde », que le dialogue, même avec l’ennemi, peut s’avérer une arme puissante.