La loi a peu à peu évolué, pour permettre aujourd'hui la dissolution des groupes d'extrême gauche écolos. Une réponse bien frêle du gouvernement à la crise écologique et sociale, écrit l'auteur de cette tribune.
Clément Rouillier est maître de conférences en droit public, au Laboratoire interdisciplinaire de recherche en innovations sociétales de l'université Rennes 2.
La dissolution des Soulèvements de la Terre n'est que la dernière d'une longue série : depuis 2017, une vingtaine de dissolutions (...)