L’adolescente de 14 ans rêvait d’un stage de troisième au sein de la police technique et scientifique. Son interlocuteur de 60 ans lui a adressé une série de dessins mettant en scène des policières ligotées et bâillonnées, accompagnés d’émojis ambigus. Jugé mardi pour «corruption de mineure», il a été relaxé.