Cette décision « n’est que le début du processus pour amener la Russie et son dirigeant à rendre des comptes pour les crimes et les atrocités qu’ils commettent en Ukraine. Il ne peut pas y avoir d’impunité », a déclaré Josep Borrell. Pour le Kremlin, ce mandat d’arrêt n’a aucune valeur juridique, car la Russie ne reconnaît pas ce tribunal.