La coalition dirigée par Kemal Kiliçdaroglu n’a pas réussi à déchoir le président sortant, qui a conservé toute son habileté électoraliste. Trop hétéroclite, elle s’est déshonorée dans l’entre-deux-tours par son discours contre les migrants, estime le chercheur Bayram Balci, dans une tribune au « Monde ».