Privée de subventions et d’interlocuteurs depuis l’automne 2021, l’association Femmes sans frontières, basée à Creil et dont la directrice porte le voile, a progressivement compris que la préfecture de l’Oise la soupçonnait de «ne pas respecter les valeurs de la République» et partageait ses doutes auprès des collectivités. Sans explications ni preuves.