Après les annonces très à droite de son ministre de l’intérieur, le chef du gouvernement s’en est démarqué, mardi 1ᵉʳ octobre, lors de sa déclaration de politique générale, tout en défendant une ligne « ferme » et en prônant de « faciliter la prolongation exceptionnelle de la rétention des étrangers en situation irrégulière ».